A partir de 2 ans

 Dans le cadre du festival Circuit Biscuit

Ici, la cuisine. Une ménagère fait son entrée… Ça rebondit, ça s’emboîte, ça glisse, ça coule ! « BALAIFARINEVERRESCHIFFONS » font bon ménage et ça déménage !!

À table !

Plonger dans un univers quotidien de l’enfance…

Rien de tel qu’une cuisine ! Un terrain de jeu exemplaire : ouvrir les portes des placards pour en sortir tous les trésors qui font que la vie est prometteuse. La danseuse entre dans une nouvelle partition, un nouvel espace de jeu, qui repose autant sur du jeu théâtral-clownesque que chorégraphique.

Une fantaisie pour s’émerveiller de petits riens !

De 4 à 9 ans

C’est un monde tellement petit... qu’on en fait le tour avant la fin du jour.

Au cours d’un voyage perpétuel, trois personnages burlesques jouent dans un espace insolite : la boussole tourne en rond, les galets volent, les ampoules chantent, et les ombres s’envolent. Des pierres qui roulent, une mouche qui passe, du verre qui tinte, un téléphone que personne ne décroche jamais... Estelle Coquin a construit, à partir de sons concrets évoquant le temps, un univers singulier dans lequel les sons évoluent, se nouent, se transforment. John Cage et Steve Reich s’immiscent parfois, comme par surprise, au beau milieu de ce joyeux fatras. On y retrouve de la danse des corps, danse des ombres, danse des objets manipulés, une danse lyrique ou burlesque. Tantôt géométrique et graphique, tantôt percussive et rythmique, cette danse du temps et de l'espace flirte avec l'abstraction, le langage des signes et le cinéma muet. Mais aussi un langage imaginaire pour les petits qui, avant d’appréhender le sens, comprennent leur environnement par le biais de l’émotion et du jeu. 

De 4 à 9 ans

C’est un monde tellement petit... qu’on en fait le tour avant la fin du jour.

Au cours d’un voyage perpétuel, trois personnages burlesques jouent dans un espace insolite : la boussole tourne en rond, les galets volent, les ampoules chantent, et les ombres s’envolent. Des pierres qui roulent, une mouche qui passe, du verre qui tinte, un téléphone que personne ne décroche jamais... Estelle Coquin a construit, à partir de sons concrets évoquant le temps, un univers singulier dans lequel les sons évoluent, se nouent, se transforment. John Cage et Steve Reich s’immiscent parfois, comme par surprise, au beau milieu de ce joyeux fatras. On y retrouve de la danse des corps, danse des ombres, danse des objets manipulés, une danse lyrique ou burlesque. Tantôt géométrique et graphique, tantôt percussive et rythmique, cette danse du temps et de l'espace flirte avec l'abstraction, le langage des signes et le cinéma muet. Mais aussi un langage imaginaire pour les petits qui, avant d’appréhender le sens, comprennent leur environnement par le biais de l’émotion et du jeu. 

De 4 à 9 ans

C’est un monde tellement petit... qu’on en fait le tour avant la fin du jour.

Au cours d’un voyage perpétuel, trois personnages burlesques jouent dans un espace insolite : la boussole tourne en rond, les galets volent, les ampoules chantent, et les ombres s’envolent. Des pierres qui roulent, une mouche qui passe, du verre qui tinte, un téléphone que personne ne décroche jamais... Estelle Coquin a construit, à partir de sons concrets évoquant le temps, un univers singulier dans lequel les sons évoluent, se nouent, se transforment. John Cage et Steve Reich s’immiscent parfois, comme par surprise, au beau milieu de ce joyeux fatras. On y retrouve de la danse des corps, danse des ombres, danse des objets manipulés, une danse lyrique ou burlesque. Tantôt géométrique et graphique, tantôt percussive et rythmique, cette danse du temps et de l'espace flirte avec l'abstraction, le langage des signes et le cinéma muet. Mais aussi un langage imaginaire pour les petits qui, avant d’appréhender le sens, comprennent leur environnement par le biais de l’émotion et du jeu. 

Après Drumming et Vortex Temporum, l’Espace Malraux et le Centre chorégraphique national de Tours accueillent une nouvelle œuvre de la grande chorégraphe belge Anne Teresa De Keersmaeker.

Rain emprunte son titre à un livre émouvant de l’écrivaine néo-zélandaise Kirsty Gunn sur le thème de l’enfance et de la mort. « Teinté de tristesse, cet ouvrage se conclut par une seule solution : laisser aller, laisser partir… Le groupe sera cette vague qui vient et se retire. Sur l'écume de cette vague se dessineront les lignes individuelles solitaires, duelles ou plurielles », explique la chorégraphe. Créée en 2001 sur une musique de son compositeur de prédilection, Steve Reich, Music for 18 Musicians, cette pièce est l'une des chorégraphies les plus électrisantes d’Anne Teresa De Keersmaeker. La dépense physique de Rain poursuit et amplifie le travail initié avec Drumming trois années plus tôt : les formes mathématisées, la répétition inlassable, l’occupation géométrique de l’espace, l’art de la variation permanente — tout ce qui était peu à peu devenu la signature de la chorégraphe est ici poussé à l’extrême. Entre sauts groupés et passages au sol, on reste subjugué par la liberté des corps et des mouvements pris dans une irrépressible énergie collective où se partagent le souffle, la vitesse et le plaisir d’être en vie. 

« La gestuelle, riche, mouvante, multidirectionnelle, d'Anne Teresa De Keersmaeker, fait miroiter à toute allure les facettes d'un paysage imprévisible. Sans cesse diffracté, le mouvement est relancé d'un corps à l'autre en autant de ricochets. » Le Monde, Rosita Boisseau

Avant-scène à partir de 19h30 en entrée libre

BAX Influencés par des formations phares qui font la part belle aux intrications mélodiques entre musiciens, qui cultivent et privilégient l'acoustique, le son de groupe et l’interplay (trio Haden/Konitz/Meldhau, trio Motian/Frisell/Lovano ou encore duo NHOP/Shepp par exemple), les deux acolytes de Bax utilisent comme terrain de jeu les standards du jazz qu’ils revisitent d’une manière entièrement singulière.

Réservations auprès du CCNT ou de l’Espace Malraux
Places numérotées
Osez la découverte avec le Passeport Culturel Etudiant !

Après Drumming et Vortex Temporum, l’Espace Malraux et le Centre chorégraphique national de Tours accueillent une nouvelle œuvre de la grande chorégraphe belge Anne Teresa De Keersmaeker.

Rain emprunte son titre à un livre émouvant de l’écrivaine néo-zélandaise Kirsty Gunn sur le thème de l’enfance et de la mort. « Teinté de tristesse, cet ouvrage se conclut par une seule solution : laisser aller, laisser partir… Le groupe sera cette vague qui vient et se retire. Sur l'écume de cette vague se dessineront les lignes individuelles solitaires, duelles ou plurielles », explique la chorégraphe. Créée en 2001 sur une musique de son compositeur de prédilection, Steve Reich, Music for 18 Musicians, cette pièce est l'une des chorégraphies les plus électrisantes d’Anne Teresa De Keersmaeker. La dépense physique de Rain poursuit et amplifie le travail initié avec Drumming trois années plus tôt : les formes mathématisées, la répétition inlassable, l’occupation géométrique de l’espace, l’art de la variation permanente — tout ce qui était peu à peu devenu la signature de la chorégraphe est ici poussé à l’extrême. Entre sauts groupés et passages au sol, on reste subjugué par la liberté des corps et des mouvements pris dans une irrépressible énergie collective où se partagent le souffle, la vitesse et le plaisir d’être en vie. 

« La gestuelle, riche, mouvante, multidirectionnelle, d'Anne Teresa De Keersmaeker, fait miroiter à toute allure les facettes d'un paysage imprévisible. Sans cesse diffracté, le mouvement est relancé d'un corps à l'autre en autant de ricochets. » Le Monde, Rosita Boisseau

« Pixel », un spectacle pour onze interprètes où la vidéo et les images numériques font dialoguer les corps. Une virtuosité magique et bien réelle. Mourad Merzouki, chorégraphe, s’associe avec deux créateurs numériques, Adrien Mondot et Claire Bardainne, sans oublier la composition musicale d’Armand Amar pour créer une perle artistique. Les arts numériques et la danse s’équilibrent dans un spectacle qui nous embarque dans une dimension scénographique virtuelle. Un langage artistique qui mêle cirque et danse hip-hop. Mourad Merzouki veut nous donner la sensation de ne plus pouvoir distinguer la réalité du monde virtuel, il souhaite ouvrir la voie d’une conversation entre le monde de synthèse de la projection numérique et le réel du corps du danseur. Un spectacle original, intrigant et innovant dans un monde pixélisé.

Abderzak Houmi, chorégraphe et danseur passionné par la géométrie, a exploré des lignes de corps au contact de l’espace et du son. « Parallèles », une pièce chorégraphique interprétée par un duo de danseuses, est le troisième temps d’un travail sur les lignes. Après « 3 au Cube » et « Face à Face », Abderzak Houmi résout une suite logique. Sa recherche a abouti à un classement hors des sentiers battus du hip-hop, à la marge de la danse contemporaine. Le duo chorégraphique joue une partition d’une précision et d’une rapidité́ parfois étourdissantes sans pour autant s’abstraire d’une approche sensible, intime et fragile, comme un souffle.

« Il a exploré des lignes de corps au contact de l’espace et du son. Sa recherche a abouti à un classement hors des sentiers battus du hip-hop, à la marge de la danse contemporaine. Ce déplacement est devenu une signature. » - Parallèle(s), Hélène Bouteaux

Dans le cadre des 19e Rencontres de Danses Urbaines, Laura Scozzi, chorégraphe reconnue mondialement, nous présente une fable subversive et jubilatoire, à la croisée de la danse, du mime et du théâtre, servie par huit danseurs hip-hop. Un hip-hop théâtral avec une réflexion délirante sur l’imaginaire des contes pour enfants. Les êtres humains, maîtres du monde ? Laura Scozzi a comme un doute : et si les animaux avaient leur mot à dire ? Alors, elle refait l’histoire. Elle se pose aussi des questions : que se passerait-il si la Belle au bois dormant ne se réveillait pas, si Cendrillon ne retrouvait pas sa pantoufle, si Blanche-Neige était noire ? Alors, elle imagine… 

« Une création où les princesses se rebiffent. La nouvelle création de Laura Scozzi dynamite les codes du conte avec une fantaisie débridée. L’attaque est frontale, le délire permanent, les surprises cascadent. » - Le Figaro

Saviez-vous que, au cours des années 1990, l’équipe du chercheur Giacomo Rizzolatti identifie les « Neurones miroirs » chez les primates, puis chez les humains ?
L’homme, lorsqu’il observe un autre homme faire quelque chose ou ressentir une émotion, active, grâce aux « neurones miroirs », la même zone du cerveau que la personne observée. Si l’on observe ou ressent de la joie chez quelqu’un, eh bien, dans notre cerveau, s’active également la joie !

Danseuse  et musicienne  traversent les tableaux et les  émotions comme on déplie un nuancier. Ces sentiments rebondissent entre elles et dans la salle  comme on jouerait au ballon.

Une interaction joyeuse qui évoque avec rythme cette capacité que nous avons tous à partager et recevoir les émotions.