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Théâtre

Publié le 17/07/2014

Peau de bête(s)

d’après Peau d’âne et Peau de mille bête(s) - compagnie 10 Doigts

A partir de différentes versions du conte Peau d’âne, dont celle de Charles Perrault, et de Peau de Mille-bêtes des frères Grimm, la compagnie 10 Doigts présente sa propre adaptation dans une écriture contemporaine : Peau de bête(s).

Pourquoi ce conte ? Pour raconter le parcours initiatique d’une jeune fille en réaction au sentiment illégitime et irrationnel d’un père. Pour les images que ce conte évoque, mêlant raffinement et sauvagerie, hauteur et bassesse, richesse et misère. Ce conte de l’instinct ramène à un rapport au corps travaillé avec la langue des signes française, la danse et le dessin. Une histoire qui nous fait passer par des sentiments extrêmes. Et surtout, on nous raconte "l’histoire d’une jeune fille qui grandit, qui invente sa propre vie" à travers une écriture orale, visuelle et corporelle.

Peau de bête(s), c’est le conte de l’indépendance.

Peau de bête(s) nous raconte le chemin à parcourir pour s’accomplir en tant qu’être humain-femme.

"Un homme et une femme, roi et reine en leur foyer. La femme, reine du foyer, est belle de belle, l’homme, roi en son foyer, est tout aussi beau qu’elle, et est plein d’amour pour elle. La femme a une chose, une chose toute particulière, du sommet de son crâne descendant le long de son dos – oui, sa chevelure, sa tignasse, sa toison, est longue, longue et elle est d’or, comme de l’or, l’or des chercheurs d’or... " Extrait de Peau de bête(s)

Accueilli en résidence en 2014

Distribution : 
Écriture originale, conception et mise en jeu : Olivia LE DIVELEC

Accompagnement artistique : Sylvain HEMERICK, Leslie EVRARD, Nicolas RIVALS

Jeu dessiné : Maxime BOUHOURS

Jeu conté : Olivia LE DIVELEC

Jeu dansé et conté : Thumette LEON

Création sonore : Amélie POLACHOWSKA

Création lumière : Samy HIDOUS

Création décors/accessoires : Maxime BOUHOURS

Traduction française, LSF et visuelle : collective

Publié le 17/07/2014

Peau de bête(s)

d’après Peau d’âne et Peau de mille bête(s) - compagnie 10 Doigts

A partir de différentes versions du conte Peau d’âne, dont celle de Charles Perrault, et de Peau de Mille-bêtes des frères Grimm, la compagnie 10 Doigts présente sa propre adaptation dans une écriture contemporaine : Peau de bête(s).

Pourquoi ce conte ? Pour raconter le parcours initiatique d’une jeune fille en réaction au sentiment illégitime et irrationnel d’un père. Pour les images que ce conte évoque, mêlant raffinement et sauvagerie, hauteur et bassesse, richesse et misère. Ce conte de l’instinct ramène à un rapport au corps travaillé avec la langue des signes française, la danse et le dessin. Une histoire qui nous fait passer par des sentiments extrêmes. Et surtout, on nous raconte "l’histoire d’une jeune fille qui grandit, qui invente sa propre vie" à travers une écriture orale, visuelle et corporelle.

Peau de bête(s), c’est le conte de l’indépendance.

Peau de bête(s) nous raconte le chemin à parcourir pour s’accomplir en tant qu’être humain-femme.

"Un homme et une femme, roi et reine en leur foyer. La femme, reine du foyer, est belle de belle, l’homme, roi en son foyer, est tout aussi beau qu’elle, et est plein d’amour pour elle. La femme a une chose, une chose toute particulière, du sommet de son crâne descendant le long de son dos – oui, sa chevelure, sa tignasse, sa toison, est longue, longue et elle est d’or, comme de l’or, l’or des chercheurs d’or... " Extrait de Peau de bête(s)

Accueilli en résidence en 2014

Distribution : 
Écriture originale, conception et mise en jeu : Olivia LE DIVELEC

Accompagnement artistique : Sylvain HEMERICK, Leslie EVRARD, Nicolas RIVALS

Jeu dessiné : Maxime BOUHOURS

Jeu conté : Olivia LE DIVELEC

Jeu dansé et conté : Thumette LEON

Création sonore : Amélie POLACHOWSKA

Création lumière : Samy HIDOUS

Création décors/accessoires : Maxime BOUHOURS

Traduction française, LSF et visuelle : collective

Publié le 08/07/2014

Moi, Corinne Dadat

Collectif Zirlib

« Corinne DADAT a 50 ans, elle est femme de ménage au lycée Sainte-Marie de Bourges. Elle est employée en Contrat à Durée Indéterminée dans cet établissement privé, et rémunérée au SMIC. Je l’ai observée attentivement faire son métier, c’est-à-dire le ménage. Elle m’a confié qu’à 50 ans, elle n’a pas de perspective de reconversion… »

Avec la danseuse-contorsionniste Elodie GUÉZOU, Corinne Dadat nous invite à partager son parcours à travers ses perspectives de reconversion. « Pour le moindre boulot, on me demande de maîtriser les logiciels Word et Excel, mais moi, je ne sais même pas allumer un ordinateur […] de toute façon, tôt ou tard, on va être remplacés par des robots ».

L’expérience de Corinne est, si ce n’est représentative, tout du moins significative des réalités actuelles.

Cette expérience chorégraphique et esthétique dresse le portrait de deux femmes que tout semble opposer, mais qui, réunies sur scène, proposent un état des corps au travail.

Cet accueil fait écho à Corps de Ballet, projet participatif organisé avec Culture O Centre et la Ville de La Riche / La Pléiade.

A 19h, une présentation du travail chorégraphique issu d’ateliers menés avec les personnels de ménage de Joué-lès-Tours et de La Riche se fera en salle Plisson.

Le lendemain, vendredi 24 avril à 20h30, La Pléiade à La Riche propose au public une autre pièce du collectif Zirlib Finir en beauté : l’occasion de découvrir l’oeuvre foisonnante, engagée et innovante de ces artistes atypiques.

Distribution :
Texte et conception :
Mohamed El Khatib
Avec Corinne Dadat, Elodie Guezou et Mohamed El Khatib
Environnement numérique : Benjamin Cadon et Franck Lefèvre
Environnement sonore : Raphaëlle Latini et Arnaud Léger
Environnement lumineux : Fred Hocké
Photographe associé : Marion Poussier
Production : Zirlib
Coproduction : Théâtre d’Orléans – Scène Nationale ; Hippodrome, scène nationale de Douai / Tandem Douai-Arras ; La Rose des Vents – Scène Nationale Lille Métropole – Villeneuve-d’Ascq ; Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau ; Les Treize Arches – scène conventionnée de Brive, Culture O Centre – Ateliers développement culturel, Théâtre d’Amboise avec le soutien de la SPEDIDAM 
Résidence de création : Centre Chorégraphique National d’Orléans (Dir. Josef Nadj), Emmetrop-Bourges, le Quai des Arts-Argentan dans le cadre des Relais Culturels Régionaux.
Avec la participation du DICRéAM, de Digital Airways et Walou Production. 
Zirlib bénéficie du soutien du ministère de la Culture – Drac Centre, de la ville d’Orléans, Zirlib est un collectif porté par la Région Centre.
Mohammed El Khatib est accompagné par L’L – lieu de recherche pour la jeune création (Bruxelles)

Publié le 08/07/2014

Z comme Zigzag

Compagnie La Ricotta - En partenariat avec le centre dramatique régional de Tours.

Imaginez la scène du théâtre transformée en centre expérimental universitaire. Vous entrez dans une salle de cours en désordre, avec des tables emmêlées et des tas de chaises, comme dans une fac occupée. Les murs sont tapissés d’affiches, de mots d’ordre, de tags. Des magnétophones, des photocopieuses et une machine à café contribuent à l’ambiance sonore… Ici, pas de « savoir descendant » : dans cette utopie imaginative tout le monde - acteurs et auditeurs - participe activement à la pensée.

Est-ce que c’est du théâtre ou de la philosophie ? C’est du théâtre qui fabrique en direct de la pensée en mouvement, inspiré par Deleuze et son abécédaire. Gilles et Gilles (Pascal Rénéric et Rodolphe Poulain), comme un Bouvard et un Pécuchet, vous invitent à un cours poétique sous forme d’abécédaire. Mais ils prennent des lettres de l’alphabet par le milieu et parlent autant d’esthétique, d’éthique que de politique… L’un parle, l’autre relance ; l’un déplie, l’autre déploie ;l’un classe, l’autre sépare… Ils s’adaptent à la participation des auditeurs selon l’humeur du moment ! La parole se fait savante, bégayante, vivante, émue. Ils se posent des questions, proposent des définitions, créent des concepts, agencent des espaces nouveaux, en mêlant art, sport, musique ou désir ; car comme disait Deleuze : « Faut pas que vous croyiez que c’est très abstrait un concept. C’est très concret, un concept. Y a pas plus concret ! » On se plaît alors à découvrir des liens entre les poux et Spinoza, Marcel Proust et Francis Bacon, le cinéma et l’opéra.

Avec l’Abécédaire de Gilles Deleuze se tisse un partenariat entre deux structures de création et de diffusion de l’agglomération tourangelle.

Pour les grands, c’est Z comme Zigzag, à l’Espace Malraux, les lundi 16 et mardi 17 février à 20h30. Pour les plus petits, c’est Le Petit Z, les jeudi 18 et vendredi 19 février au théâtre Olympia.

Distribution :
Conception et mise en scène : Bérangère Jannelle
Ecriture : Bérangère Jannelle d'après les oeuvres de Gilles Deleuze
Dispositif scénique : Stéphane Pauvret
Avec : David Migeot (Gilles) & Rodolphe Poulain (Gilles) - en alternance : Vincent Berger (Gilles) et Pascal Rénéric (Gilles)
Costumes : Laurence Chalou / Lumières : Christian Dubet
Création lumière : Marc Labourguigne
Régie générale : Eric Blévin
Création sonore : Jean-Damien Ratel
Direction technique : Marc Labourguigne
Administration, production et diffusion La Magnanerie : Julie Comte-Gabillon, Victor Leclère et Anne Herrmann
Production : La Ricotta
Coproduction : Le Théâtre, Scène Nationale de Saint-Nazaire, Le Trident, Scène Nationale de Cherbourg-Octeville, le Centre Dramatique National de Haute-Normandie, Equinoxe Scène Nationale de Châteauroux, MC2 : Grenoble, Le Carré - Les Colonnes, scène conventionnée de Saint-Médard-en-Jalles/Blanquefort
Accueil en résidence : Le Centquatre – Etablissement artistique de la Ville de Paris.

Création le 4 novembre 2014 au Trident, Scène Nationale de Cherbourg-Octeville

Ce spectacle bénéficie de l’aide à la production de la Région Centre.
La Ricotta est une compagnie associée à Equinoxe, Scène nationale de Châteauroux, au Centre Dramatique National de Haute-Normandie et au Théâtre, scène nationale de Saint-Nazaire. Elle est accompagnée par Le Carreau du Temple,
établissement culturel de la Ville de Paris. La compagnie est conventionnée par le ministère de la Culture et de la Communication, DRAC – Centre et par La Région Centre

Publié le 08/07/2014

Z comme Zigzag

Compagnie La Ricotta - En partenariat avec le centre dramatique régional de Tours.

Imaginez la scène du théâtre transformée en centre expérimental universitaire. Vous entrez dans une salle de cours en désordre, avec des tables emmêlées et des tas de chaises, comme dans une fac occupée. Les murs sont tapissés d’affiches, de mots d’ordre, de tags. Des magnétophones, des photocopieuses et une machine à café contribuent à l’ambiance sonore… Ici, pas de « savoir descendant » : dans cette utopie imaginative tout le monde - acteurs et auditeurs - participe activement à la pensée.

Est-ce que c’est du théâtre ou de la philosophie ? C’est du théâtre qui fabrique en direct de la pensée en mouvement, inspiré par Deleuze et son abécédaire. Gilles et Gilles (Pascal Rénéric et Rodolphe Poulain), comme un Bouvard et un Pécuchet, vous invitent à un cours poétique sous forme d’abécédaire. Mais ils prennent des lettres de l’alphabet par le milieu et parlent autant d’esthétique, d’éthique que de politique… L’un parle, l’autre relance ; l’un déplie, l’autre déploie ;l’un classe, l’autre sépare… Ils s’adaptent à la participation des auditeurs selon l’humeur du moment ! La parole se fait savante, bégayante, vivante, émue. Ils se posent des questions, proposent des définitions, créent des concepts, agencent des espaces nouveaux, en mêlant art, sport, musique ou désir ; car comme disait Deleuze : « Faut pas que vous croyiez que c’est très abstrait un concept. C’est très concret, un concept. Y a pas plus concret ! » On se plaît alors à découvrir des liens entre les poux et Spinoza, Marcel Proust et Francis Bacon, le cinéma et l’opéra.

Avec l’Abécédaire de Gilles Deleuze se tisse un partenariat entre deux structures de création et de diffusion de l’agglomération tourangelle.

Pour les grands, c’est Z comme Zigzag, à l’Espace Malraux, les lundi 16 et mardi 17 février à 20h30. Pour les plus petits, c’est Le Petit Z, les jeudi 18 et vendredi 19 février au théâtre Olympia.

Distribution :
Conception et mise en scène : Bérangère Jannelle
Ecriture : Bérangère Jannelle d'après les oeuvres de Gilles Deleuze
Dispositif scénique : Stéphane Pauvret
Avec : David Migeot (Gilles) & Rodolphe Poulain (Gilles) - en alternance : Vincent Berger (Gilles) et Pascal Rénéric (Gilles)
Costumes : Laurence Chalou / Lumières : Christian Dubet
Création lumière : Marc Labourguigne
Régie générale : Eric Blévin
Création sonore : Jean-Damien Ratel
Direction technique : Marc Labourguigne
Administration, production et diffusion La Magnanerie : Julie Comte-Gabillon, Victor Leclère et Anne Herrmann
Production : La Ricotta
Coproduction : Le Théâtre, Scène Nationale de Saint-Nazaire, Le Trident, Scène Nationale de Cherbourg-Octeville, le Centre Dramatique National de Haute-Normandie, Equinoxe Scène Nationale de Châteauroux, MC2 : Grenoble, Le Carré - Les Colonnes, scène conventionnée de Saint-Médard-en-Jalles/Blanquefort
Accueil en résidence : Le Centquatre – Etablissement artistique de la Ville de Paris.

Création le 4 novembre 2014 au Trident, Scène Nationale de Cherbourg-Octeville

Ce spectacle bénéficie de l’aide à la production de la Région Centre.
La Ricotta est une compagnie associée à Equinoxe, Scène nationale de Châteauroux, au Centre Dramatique National de Haute-Normandie et au Théâtre, scène nationale de Saint-Nazaire. Elle est accompagnée par Le Carreau du Temple,
établissement culturel de la Ville de Paris. La compagnie est conventionnée par le ministère de la Culture et de la Communication, DRAC – Centre et par La Région Centre

Publié le 08/07/2014

Les mains de Camille ou le temps de l’oubli

Compagnie Les Anges au Plafond

C’est à l’envol mais aussi à la déchéance de Camille Claudel, élève dévouée d’Auguste Rodin, amoureuse éperdue, soeur et femme esseulée finalement réduite au silence et à l’isolement, que nous assistons.

Dès son plus jeune âge, Camille est repérée pour ses talents de sculpteuse. Elle est ensuite présentée à Auguste Rodin, le sculpteur phare de Paris. Un amour incandescent naît entre les deux artistes malgré les vingt ans qui les séparent. Une passion qui mènera Camille à sa perte, victime des bonnes moeurs de la société bourgeoise, trahie par sa famille et son amant. Rongée par la jalousie et le sentiment d’être exploitée, Camille Claudel est jugée déviante et se voit internée à l’asile de Montdevergues où son droit à l’expression s’éteindra avec elle…


« Un destin tragique raconté avec un flamboiement d’inventions : scénographie tout en toile et papiers, marionnettes splendides, projections, ombres, sans oublier l’interprétation et la manipulation magistrales de Camille Trouvé, entourée de trois comédiennesmusiciennes. Un spectacle foisonnant à réserver aux plus grands »

Françoise Sabatier-Morel, Télérama

Distribution :
Avec Camille Trouvé, Marie Girardin, Martina Rodriguez, Awena Burgess 
Mise en scène : Brice Berthoud assisté de Saskia Berthod
Marionnettes : Camille Trouvé
Texte : Brice Berthoud
Musique originale : Martina Rodriguez, Awena Burgess
Oreille extérieure : Piero Pépin
Son : Antoine Garry
Scénographie : Brice Berthoud avec Jaime Olivares
Décors : Jaime Olivares avec Jean-Francois Frering et Urban Edte
Costumes : Séverine Thiébault
Lumières : Marc Martinez
Création de mécanismes et objets scéniques : Magali Rousseau
Collaboration artistique et mouvements : Dominique Hardy, Einat Landais, Carine Gualdaroni, Jonas Coutancier, Emmanuelle Lhermie, Jessy Caillat, l’équipe technique d’Equinoxe
Régie de tournée : Philippe Desmulie avec Marina Gabillaud-Lamy
Administration : Rémy Gonthier 

Avec le soutien de la DRAC d’Ile de France, ministère de la Culture et de la Communication et du Conseil général des Hauts-de-Seine.
Production réalisée grâce au soutien de la Région Centre

Publié le 08/07/2014

Les mains de Camille ou le temps de l’oubli

Compagnie Les Anges au Plafond

C’est à l’envol mais aussi à la déchéance de Camille Claudel, élève dévouée d’Auguste Rodin, amoureuse éperdue, soeur et femme esseulée finalement réduite au silence et à l’isolement, que nous assistons.

Dès son plus jeune âge, Camille est repérée pour ses talents de sculpteuse. Elle est ensuite présentée à Auguste Rodin, le sculpteur phare de Paris. Un amour incandescent naît entre les deux artistes malgré les vingt ans qui les séparent. Une passion qui mènera Camille à sa perte, victime des bonnes moeurs de la société bourgeoise, trahie par sa famille et son amant. Rongée par la jalousie et le sentiment d’être exploitée, Camille Claudel est jugée déviante et se voit internée à l’asile de Montdevergues où son droit à l’expression s’éteindra avec elle…


« Un destin tragique raconté avec un flamboiement d’inventions : scénographie tout en toile et papiers, marionnettes splendides, projections, ombres, sans oublier l’interprétation et la manipulation magistrales de Camille Trouvé, entourée de trois comédiennesmusiciennes. Un spectacle foisonnant à réserver aux plus grands »

Françoise Sabatier-Morel, Télérama

Distribution :
Avec Camille Trouvé, Marie Girardin, Martina Rodriguez, Awena Burgess 
Mise en scène : Brice Berthoud assisté de Saskia Berthod
Marionnettes : Camille Trouvé
Texte : Brice Berthoud
Musique originale : Martina Rodriguez, Awena Burgess
Oreille extérieure : Piero Pépin
Son : Antoine Garry
Scénographie : Brice Berthoud avec Jaime Olivares
Décors : Jaime Olivares avec Jean-Francois Frering et Urban Edte
Costumes : Séverine Thiébault
Lumières : Marc Martinez
Création de mécanismes et objets scéniques : Magali Rousseau
Collaboration artistique et mouvements : Dominique Hardy, Einat Landais, Carine Gualdaroni, Jonas Coutancier, Emmanuelle Lhermie, Jessy Caillat, l’équipe technique d’Equinoxe
Régie de tournée : Philippe Desmulie avec Marina Gabillaud-Lamy
Administration : Rémy Gonthier 

Avec le soutien de la DRAC d’Ile de France, ministère de la Culture et de la Communication et du Conseil général des Hauts-de-Seine.
Production réalisée grâce au soutien de la Région Centre

Publié le 08/07/2014

Fuite Nuptiale

Compagnie des Ils et des Elles

Ce matin, Mary a vu les invités, sa famille, la robe de mariée qu’on avait choisie pour elle et elle s’est enfuie.

Sans un mot pour Simon, son futur mari, mais avec une drôle de grimace qui en disait long sur son ressenti de ce mariage surprise.

Simon va donc passer une journée pénible, entouré de ses proches, dans ce gîte, initialement prévu pour accueillir les mariés. Il y a là sa mère et son père. Ils ne se sont pas vus depuis 14 ans, date officielle de leur divorce. Il y a aussi Fred et Patricia, les deux témoins, qui ont des conceptions très différentes de la vie en général. Ce qui devait être une nuit de noces va prendre un tour grotesque.

Mary reviendra-t-elle ? Simon s’en remettrat-il ?

Personne ne ressortira indemne. Il y aura ceux qui auront le courage de se remettre en question et d’évoluer. Ceux qui resteront emprisonnés dans le carcan de leurs certitudes. Et ceux qui savent qu’ils doivent changer et qui n’y arrivent décidément pas. 

« Cette jeune compagnie drôlement utile, propose un théâtre inscrit dans notre quotidien, soucieux de pointer nos petits défauts. Elle se sert du décalage humoristique pour laisser une empreinte dans nos cortex. Y parvient avec fantaisie. On en garde une trace bien présente et bien douce. »

Claire Néel, Les Trois Coups

« La compagnie "Des Ils et des Elles" revient vers le public avec un jeu extrêmement précis et juste, dans un spectacle bouleversant d’intelligence. »

La Marseillaise

Distribution :
Auteur et metteur en scène : Stéphane Hervé
Assistante à la mise en scène : Aude Sabin
Les comédiens : Laurent Seron Keller, Jocelyne Sand, Margot Faure, Philippe Bonhommeau, Gérard Levoyer

Le texte de la pièce a été écrit par Stéphane Hervé, dans le cadre d’une résidence au CFA de Joué-lès-Tours. Ce temps de travail et de présence de l’artiste sur le territoire a fait l’objet d’ateliers d’écriture et de théâtre auprès des élèves du CFA.

Publié le 08/07/2014

Ligne(s) d’horizon

Compagnie Le Lutin

Une ligne d’horizon s’étire, s’étire jusqu’à prendre vie, elle forme un mot, une phrase, une histoire.

Un spectacle sur la danse, l’écriture et la calligraphie. Une proposition artistique pluridisciplinaire : théâtre, arts plastiques, danse, arts visuels, performance, marionnette… Ligne(s) d’horizon relève du récit mythique et traverse les arts dans un rythme puissant et avec une profonde poésie.

Le papier, support ancestral de la création, est ici le protagoniste principal d’un spectacle complet qui nous entraîne dans l’univers de la peinture, de la danse et du théâtre d’objet. Des livres épars et fuyants balayés par le vent... La blancheur du papier... Une drôle de petite bonne femme, solitaire et curieuse, prend place face à un bureau-établi, roulant telle une barque suspendue dans le vide ...

Dans la pénombre, elle devient magicienne et démiurge. De ses pinceaux, tout sort et transfigure l’espace vide : l’eau, l’encre, les êtres et la lumière. De la fantaisie et de la féérie des fantasmes, s’évadent deux créatures inouïes, tantôt animales, tantôt humaines, comiques ou terribles, sans cesse métamorphosées.

Un spectacle magique, tout de papier, de lumière, et de mouvement. Suspendues entre l’ombre et la clarté, entre le noir et le blanc, là où la couleur vous attrape par surprise, les fantasmagories se succèdent comme autant de visions improbables et joyeuses. Elles disent le geste millénaire et infiniment riche du calligraphe, le secret des mots, la présence et l’absence, le désir, la difficulté d’écrire et de s’écrire, la joie de créer.

Comédiens manipulateurs : Rachel Da Silva et Tucker Frédérick Kapp
Plasticienne et écriture en direct : Gaëlle Boucherit
Régisseur son-lumières : Cyril Deguilhem
Techniciens de plateau : Raphaël Lo Bello et Léo Lacomblez
Création sonore et musique originale : Victor Betti et Laurent Buisson
Création lumière : Lucas Gilabert
Création vidéo : Guillaume Bautista
Costumes, accessoires : Raphaël Lo Bello / Françoise Cueff / Sarah Béranger
Décors : Alexander Bugel et David Le Barse, assistés à la construction de Denis Diaz et Marine Senges
Techniciens : Raphaël Lobello et Léo Lacomblez
Explorations calligraphiques : Kitty Sabatier
Direction artistique : Gaëlle Boucherit
Coproduction : Centre TOPIC / Festival International de Marionnettes de Tolosa (Espagne).
​Le spectacle est soutenu par : La Direction Régionale des Affaires Culturelles du Ministère de la Culture (DRAC Midi-Pyrénées), la Ville de Toulouse, le Conseil régional Midi-Pyrénées, le Conseil général Haute- Garonne.
​Mécenat et soutiens : Entreprises G-Lalo et J.Herbin encres et accessoires d’écriture - Paris Jacqueline Javault, Mireille Souques et Renaud Le Guhenec.

Publié le 23/09/2013

Bestiaire d’amour

d’après la série Green Porno, avec Isabella Rossellini

Drôle, léger, parfois cru et scientifiquement exact, « Bestiaire d’amour » prolonge les séries télévisées à succès que l'actrice italo-américaine, passionnée de biologie, avait tournées, "Green Porno", "Seduce Me" et "Mammas", consacrées au comportement des animaux et dans lesquelles elle se mettait en scène, en araignée, dauphin, punaise, hamster...

Le propos est malicieux, souvent amusant, parfois dérangeant. Ainsi quand la comédienne saisit des fleurs et explique, de sa voix enrouée par une laryngite: « Vous voyez cette fleur, avec ses couleurs elle aguiche les insectes pour la pollinisation. C'est comme une femme qui montrerait ses atours. C'est un appel au sexe. Or, ces fleurs, on peut les voir dans les églises et même chez le pape. Pourquoi l'appel au sexe est-il accepté chez les fleurs et pas chez l'homme ? »

Les surprises du sexe chez les animaux sont ainsi passées en revue. De l'éléphant de mer qui se conduit "comme dans un harem", de la mante religieuse qui "dévore après copulation", au hamster qui tue ses bébés "en trop".

Le comportement humain est souvent mis en perspective et la référence à l'homme n'est jamais loin…

« L’humour et le talent de la dame suffisent amplement à capter l’attention et, en prime, on en profite pour s’instruire.
Anthropomorphisme réjouissant et information scientifique de bon aloi permettent alors de découvrir la ceinture de chasteté version insecte, de faire connaissance avec l’escargot maso et de pouvoir affirmer haut et fort, que si les dauphins sont des coquins qui adorent se mélanger, Isabella reste, elle, un délicieux mélange de charme et de classe décontractée. »

LC, Journal Ventilo

NOUVELLE SCENE HALL

ON CONNAIT LA CHANSON

19H45 / 20H15

Avant-scène avec les maîtres chanteurs de l'association "On connaît la chanson"

Création Printemps des Comédiens 2013, Montpellier 

Texte Isabella Rossellini  & Jean Claude Carrière  

Complicité artistique Muriel Mayette

Conception lumières et vidéo Antoine Manichon

Production Les Visiteurs du Soir