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Théâtre

Publié le 28/07/2014

Noir et Humide

Compagnie Laroukhyne

C’est l’histoire d’une petite fille, Lene.

Elle décide de descendre toute seule à la cave de la maison de ses parents, curieuse de découvrir ce lieu où « il y a tant de choses qu’elle ne connaît pas et qu’elle est certaine de trouver (...) ; car à la cave il y a sûrement un animal noir avec de longues et grosses moustaches. ». Lene attend que sa mère sorte de la maison pour emprunter la belle lampe de poche jaune de son frère. Tous ses sens sont en éveil car « Si jamais son frère arrivait maintenant, alors qu’elle est dans sa chambre et qu’elle vient de prendre la lampe de poche sur l’étagère tout en haut du mur ? (...) Qu’est-ce qu’elle ferait ? »

Cette aventure secrète est animée par le désir joyeux de partir vers l’inconnu et de se dépasser.

Parviendra-t-elle à visiter cette cave ? Ou devra-t-elle continuer à l’imaginer ? Lene est déterminée. Son parcours est héroïque.

Ce spectacle nous plonge dans la pensée d’une petite fille, au coeur de ses désirs et de ses peurs. Une parole intérieure qui navigue librement, sans transition, d’une image à une autre, d’une émotion à une autre, d’un son à un autre. Un jeu s’invente entre rêve et réalité, monde visible et invisible. 

Un parcours intime, une quête initiatique engagée avec une comédienne dans un espace de cubes blancs qui se transforment, laissent apparaître des ombres et jouent de nos perceptions.

A travers la langue de Jon Fosse, nous plongeons dans une parole intérieure où les mots se répètent et se teintent chaque fois d’une sensation nouvelle.

Distribution :
Texte
de Jon Fosse traduit du norvégien par Terje Sinding aux éditions l’Arche jeunesse en 2009
Mise en scène et interprétation : Caroline Husson
Regards complices, jeu et scénographie : Cécile Chèvre et Lidwine Brétecher
Création sonore : Yannick Guédon
Mise en lumière : Frédéric Postiau/Jérôme Perez
Langue des signes : Thumette Léon
Coproduction avec le Centre de Littérature Jeunesse et l’action « j’aime lire dès la maternelle » -
Bruxelles et le soutien en Belgique du C.C.Escale du Nord, la Fabrique de Théâtre, la Galafronie, la Cie La Casquette et en France du Padloba et de la Cie Atelier de papier

Publié le 28/07/2014

Noir et Humide

Compagnie Laroukhyne

C’est l’histoire d’une petite fille, Lene.

Elle décide de descendre toute seule à la cave de la maison de ses parents, curieuse de découvrir ce lieu où « il y a tant de choses qu’elle ne connaît pas et qu’elle est certaine de trouver (...) ; car à la cave il y a sûrement un animal noir avec de longues et grosses moustaches. ». Lene attend que sa mère sorte de la maison pour emprunter la belle lampe de poche jaune de son frère. Tous ses sens sont en éveil car « Si jamais son frère arrivait maintenant, alors qu’elle est dans sa chambre et qu’elle vient de prendre la lampe de poche sur l’étagère tout en haut du mur ? (...) Qu’est-ce qu’elle ferait ? »

Cette aventure secrète est animée par le désir joyeux de partir vers l’inconnu et de se dépasser.

Parviendra-t-elle à visiter cette cave ? Ou devra-t-elle continuer à l’imaginer ? Lene est déterminée. Son parcours est héroïque.

Ce spectacle nous plonge dans la pensée d’une petite fille, au coeur de ses désirs et de ses peurs. Une parole intérieure qui navigue librement, sans transition, d’une image à une autre, d’une émotion à une autre, d’un son à un autre. Un jeu s’invente entre rêve et réalité, monde visible et invisible. 

Un parcours intime, une quête initiatique engagée avec une comédienne dans un espace de cubes blancs qui se transforment, laissent apparaître des ombres et jouent de nos perceptions.

A travers la langue de Jon Fosse, nous plongeons dans une parole intérieure où les mots se répètent et se teintent chaque fois d’une sensation nouvelle.

Distribution :
Texte
de Jon Fosse traduit du norvégien par Terje Sinding aux éditions l’Arche jeunesse en 2009
Mise en scène et interprétation : Caroline Husson
Regards complices, jeu et scénographie : Cécile Chèvre et Lidwine Brétecher
Création sonore : Yannick Guédon
Mise en lumière : Frédéric Postiau/Jérôme Perez
Langue des signes : Thumette Léon
Coproduction avec le Centre de Littérature Jeunesse et l’action « j’aime lire dès la maternelle » -
Bruxelles et le soutien en Belgique du C.C.Escale du Nord, la Fabrique de Théâtre, la Galafronie, la Cie La Casquette et en France du Padloba et de la Cie Atelier de papier

Publié le 28/07/2014

Noir et Humide

Compagnie Laroukhyne

C’est l’histoire d’une petite fille, Lene.

Elle décide de descendre toute seule à la cave de la maison de ses parents, curieuse de découvrir ce lieu où « il y a tant de choses qu’elle ne connaît pas et qu’elle est certaine de trouver (...) ; car à la cave il y a sûrement un animal noir avec de longues et grosses moustaches. ». Lene attend que sa mère sorte de la maison pour emprunter la belle lampe de poche jaune de son frère. Tous ses sens sont en éveil car « Si jamais son frère arrivait maintenant, alors qu’elle est dans sa chambre et qu’elle vient de prendre la lampe de poche sur l’étagère tout en haut du mur ? (...) Qu’est-ce qu’elle ferait ? »

Cette aventure secrète est animée par le désir joyeux de partir vers l’inconnu et de se dépasser.

Parviendra-t-elle à visiter cette cave ? Ou devra-t-elle continuer à l’imaginer ? Lene est déterminée. Son parcours est héroïque.

Ce spectacle nous plonge dans la pensée d’une petite fille, au coeur de ses désirs et de ses peurs. Une parole intérieure qui navigue librement, sans transition, d’une image à une autre, d’une émotion à une autre, d’un son à un autre. Un jeu s’invente entre rêve et réalité, monde visible et invisible. 

Un parcours intime, une quête initiatique engagée avec une comédienne dans un espace de cubes blancs qui se transforment, laissent apparaître des ombres et jouent de nos perceptions.

A travers la langue de Jon Fosse, nous plongeons dans une parole intérieure où les mots se répètent et se teintent chaque fois d’une sensation nouvelle.

Distribution :
Texte
de Jon Fosse traduit du norvégien par Terje Sinding aux éditions l’Arche jeunesse en 2009
Mise en scène et interprétation : Caroline Husson
Regards complices, jeu et scénographie : Cécile Chèvre et Lidwine Brétecher
Création sonore : Yannick Guédon
Mise en lumière : Frédéric Postiau/Jérôme Perez
Langue des signes : Thumette Léon
Coproduction avec le Centre de Littérature Jeunesse et l’action « j’aime lire dès la maternelle » -
Bruxelles et le soutien en Belgique du C.C.Escale du Nord, la Fabrique de Théâtre, la Galafronie, la Cie La Casquette et en France du Padloba et de la Cie Atelier de papier

Publié le 28/07/2014

Les Cahiers de Rémi

Collectif Râ, théâtre en chemin...

Rémi a onze ans. C’est sa première année de collège. Il vit seul avec sa mère, part en vacances seul chez sa grand-mère... Ses deux premiers cahiers racontent son quotidien, les rencontres qu’il fait, ses rêves et ses découvertes, tissant le portrait éclaté et incertain d’un jeune d’aujourd’hui qui quitte imperceptiblement l’enfance...

Rémi, le souffre-douleur, grandit. Il se confie entre onze ans et vingt ans dans ses différents cahiers (de classe, de renoncements, d’expériences…) : les préoccupations scolaires sont vite remplacées par la découverte de l’amour et par des revendications pleines de colère et d’espoir. Ses parents, ses amis, ses amours et des inconnus croisés gravitent autour de la planète Rémi, dans une danse émouvante à laquelle nous assistons avec plaisir.

Par une langue toujours aussi inventive et simple, Dominique Richard s’émancipe des situations quotidiennes et cocasses.

Les cahiers dessinés par Vincent Debats parachèvent une oeuvre touchante de sincérité et d’intelligence.

Distribution :
Ecrit par : Dominique Richard
Mise en scène : Dominique Richard
Avec : Mikaël Teyssié, Christine Joly, Louis Caratini, Raphaël Mondon
Scénographie : Vincent Debats
Lumières : William Lambert
Régie Générale : Paul Éric Vezard
Régie lumière : Dominique Pain
Soutiens sollicités : CNT/Drac Centre/ADAMI/Région Centre/Conseil général de l’Indre-et-Loire/Tour(s)plus/Ville de Joué-lès-Tours.
Partenaires : Théâtre Jean Vilar, Vitry-sur-Seine (94)/Espace Malraux (Joué-lès-Tours 37)/La Manivelle Théâtre, Compagnie en convention de mission jeune public (Wasquehal 59)/Les Éditions THEATRALES.

Publié le 28/07/2014

Les Cahiers de Rémi

Collectif Râ, théâtre en chemin...

Rémi a onze ans. C’est sa première année de collège. Il vit seul avec sa mère, part en vacances seul chez sa grand-mère... Ses deux premiers cahiers racontent son quotidien, les rencontres qu’il fait, ses rêves et ses découvertes, tissant le portrait éclaté et incertain d’un jeune d’aujourd’hui qui quitte imperceptiblement l’enfance...

Rémi, le souffre-douleur, grandit. Il se confie entre onze ans et vingt ans dans ses différents cahiers (de classe, de renoncements, d’expériences…) : les préoccupations scolaires sont vite remplacées par la découverte de l’amour et par des revendications pleines de colère et d’espoir. Ses parents, ses amis, ses amours et des inconnus croisés gravitent autour de la planète Rémi, dans une danse émouvante à laquelle nous assistons avec plaisir.

Par une langue toujours aussi inventive et simple, Dominique Richard s’émancipe des situations quotidiennes et cocasses.

Les cahiers dessinés par Vincent Debats parachèvent une oeuvre touchante de sincérité et d’intelligence.

Distribution :
Ecrit par : Dominique Richard
Mise en scène : Dominique Richard
Avec : Mikaël Teyssié, Christine Joly, Louis Caratini, Raphaël Mondon
Scénographie : Vincent Debats
Lumières : William Lambert
Régie Générale : Paul Éric Vezard
Régie lumière : Dominique Pain
Soutiens sollicités : CNT/Drac Centre/ADAMI/Région Centre/Conseil général de l’Indre-et-Loire/Tour(s)plus/Ville de Joué-lès-Tours.
Partenaires : Théâtre Jean Vilar, Vitry-sur-Seine (94)/Espace Malraux (Joué-lès-Tours 37)/La Manivelle Théâtre, Compagnie en convention de mission jeune public (Wasquehal 59)/Les Éditions THEATRALES.

Publié le 28/07/2014

Les Cahiers de Rémi

Collectif Râ, théâtre en chemin...

Rémi a onze ans. C’est sa première année de collège. Il vit seul avec sa mère, part en vacances seul chez sa grand-mère... Ses deux premiers cahiers racontent son quotidien, les rencontres qu’il fait, ses rêves et ses découvertes, tissant le portrait éclaté et incertain d’un jeune d’aujourd’hui qui quitte imperceptiblement l’enfance...

Rémi, le souffre-douleur, grandit. Il se confie entre onze ans et vingt ans dans ses différents cahiers (de classe, de renoncements, d’expériences…) : les préoccupations scolaires sont vite remplacées par la découverte de l’amour et par des revendications pleines de colère et d’espoir. Ses parents, ses amis, ses amours et des inconnus croisés gravitent autour de la planète Rémi, dans une danse émouvante à laquelle nous assistons avec plaisir.

Par une langue toujours aussi inventive et simple, Dominique Richard s’émancipe des situations quotidiennes et cocasses.

Les cahiers dessinés par Vincent Debats parachèvent une oeuvre touchante de sincérité et d’intelligence.

Distribution :
Ecrit par : Dominique Richard
Mise en scène : Dominique Richard
Avec : Mikaël Teyssié, Christine Joly, Louis Caratini, Raphaël Mondon
Scénographie : Vincent Debats
Lumières : William Lambert
Régie Générale : Paul Éric Vezard
Régie lumière : Dominique Pain
Soutiens sollicités : CNT/Drac Centre/ADAMI/Région Centre/Conseil général de l’Indre-et-Loire/Tour(s)plus/Ville de Joué-lès-Tours.
Partenaires : Théâtre Jean Vilar, Vitry-sur-Seine (94)/Espace Malraux (Joué-lès-Tours 37)/La Manivelle Théâtre, Compagnie en convention de mission jeune public (Wasquehal 59)/Les Éditions THEATRALES.

Publié le 28/07/2014

Les Cahiers de Rémi

Collectif Râ, théâtre en chemin...

Rémi a onze ans. C’est sa première année de collège. Il vit seul avec sa mère, part en vacances seul chez sa grand-mère... Ses deux premiers cahiers racontent son quotidien, les rencontres qu’il fait, ses rêves et ses découvertes, tissant le portrait éclaté et incertain d’un jeune d’aujourd’hui qui quitte imperceptiblement l’enfance...

Rémi, le souffre-douleur, grandit. Il se confie entre onze ans et vingt ans dans ses différents cahiers (de classe, de renoncements, d’expériences…) : les préoccupations scolaires sont vite remplacées par la découverte de l’amour et par des revendications pleines de colère et d’espoir. Ses parents, ses amis, ses amours et des inconnus croisés gravitent autour de la planète Rémi, dans une danse émouvante à laquelle nous assistons avec plaisir.

Par une langue toujours aussi inventive et simple, Dominique Richard s’émancipe des situations quotidiennes et cocasses.

Les cahiers dessinés par Vincent Debats parachèvent une oeuvre touchante de sincérité et d’intelligence.

Distribution :
Ecrit par : Dominique Richard
Mise en scène : Dominique Richard
Avec : Mikaël Teyssié, Christine Joly, Louis Caratini, Raphaël Mondon
Scénographie : Vincent Debats
Lumières : William Lambert
Régie Générale : Paul Éric Vezard
Régie lumière : Dominique Pain
Soutiens sollicités : CNT/Drac Centre/ADAMI/Région Centre/Conseil général de l’Indre-et-Loire/Tour(s)plus/Ville de Joué-lès-Tours.
Partenaires : Théâtre Jean Vilar, Vitry-sur-Seine (94)/Espace Malraux (Joué-lès-Tours 37)/La Manivelle Théâtre, Compagnie en convention de mission jeune public (Wasquehal 59)/Les Éditions THEATRALES.

Publié le 28/07/2014

Les Cahiers de Rémi

Collectif Râ, théâtre en chemin...

Rémi a onze ans. C’est sa première année de collège. Il vit seul avec sa mère, part en vacances seul chez sa grand-mère... Ses deux premiers cahiers racontent son quotidien, les rencontres qu’il fait, ses rêves et ses découvertes, tissant le portrait éclaté et incertain d’un jeune d’aujourd’hui qui quitte imperceptiblement l’enfance...

Rémi, le souffre-douleur, grandit. Il se confie entre onze ans et vingt ans dans ses différents cahiers (de classe, de renoncements, d’expériences…) : les préoccupations scolaires sont vite remplacées par la découverte de l’amour et par des revendications pleines de colère et d’espoir. Ses parents, ses amis, ses amours et des inconnus croisés gravitent autour de la planète Rémi, dans une danse émouvante à laquelle nous assistons avec plaisir.

Par une langue toujours aussi inventive et simple, Dominique Richard s’émancipe des situations quotidiennes et cocasses.

Les cahiers dessinés par Vincent Debats parachèvent une oeuvre touchante de sincérité et d’intelligence.

Distribution :
Ecrit par : Dominique Richard
Mise en scène : Dominique Richard
Avec : Mikaël Teyssié, Christine Joly, Louis Caratini, Raphaël Mondon
Scénographie : Vincent Debats
Lumières : William Lambert
Régie Générale : Paul Éric Vezard
Régie lumière : Dominique Pain
Soutiens sollicités : CNT/Drac Centre/ADAMI/Région Centre/Conseil général de l’Indre-et-Loire/Tour(s)plus/Ville de Joué-lès-Tours.
Partenaires : Théâtre Jean Vilar, Vitry-sur-Seine (94)/Espace Malraux (Joué-lès-Tours 37)/La Manivelle Théâtre, Compagnie en convention de mission jeune public (Wasquehal 59)/Les Éditions THEATRALES.

Publié le 28/07/2014

Le Porteur d’histoire

2 Molières 2014 !

Par une nuit pluvieuse, au fin fond des Ardennes, Martin Martin doit enterrer son père. Il est alors loin d’imaginer que la découverte d’un carnet manuscrit va l’entraîner dans une quête vertigineuse à travers l’Histoire et les continents.

Quinze ans plus tard, au coeur du désert algérien, une mère et sa fille disparaissent mystérieusement. 

Le Porteur d’histoire est un roman, un film, un conte, une légende, un feuilleton littéraire haletant proposant une quête vertigineuse à travers l’histoire, les continents et le temps. Il mélange personnages célèbres et illustres inconnus qui nous invitent à relire l’histoire, notre histoire, à travers celle de Martin Martin, mais aussi celle d’Alia et de sa fille, d’Alexandre et d’Adélaïde, de Marie-Antoinette ou du Prince de Polignac. Cinq comédiens nous livrent un double héritage : un amas de livres frappés d’un étrange calice et un colossal trésor accumulé à travers les âges par une société secrète légendaire.
Chacun peut repartir avec sa propre histoire et la continuer seul, devenant lui-même, à son tour, un porteur d’histoire.

« Une folie jubilatoire. »

Télérama Sortir

« Un extravagant tourbillon. »

Télérama

« Aussi romanesque que cinématographique. »

Premiere.fr

« On rit, on est ému, on s’interroge, on tremble. »

Le Quotidien du Médecin

« Ébouriffant d’originalité et d’humour (...) Une épopée théâtrale. »

Theatrorama.com

NOUVELLE SCÈNE HALL

ARMAND DELAVAL

19H30 / 20H15

Nous avons le grand plaisir d'accueillir Armand pour la deuxième fois sur la nouvelle scène hall. Sa musique nous avait conquis la première fois et c'est tout naturellement que nous lui avons demandé de revenir jouer sur cette scène qui commence à vraiment prendre vie grâce à des artistes tels que lui !

Texte et mise en scène : Alexis Michalik
Distribution en alternance : Fadila Belkebla, Patrick Blandin, Emilie Blon Metzinger, Benjamin Brenière, Stéphanie Caillol, Marc Citti, Amaury de Crayencour, Vincent Deniard, Evelyne El Garby Klai, Magali Genoud, Charles Lelaure, Justine Moulinier, Benjamin Penamaria, François Raffenaud, Régis Vallée.
Lumières : Anaïs Souquet
Costumes : Marion Rebmann
Musique originale : Manuel Peskine
Production : Mises en capsules

Nominé aux Molières du meilleur spectacle de théâtre privé 2014.
Alexis Michalik, auteur et metteur en scène a reçu 2 Molières pour ce spectacle en 2014 :
Molière du metteur en scène d’un spectacle de théâtre privé et Molière de l’auteur francophone vivant.

Publié le 28/07/2014

Meträume, Rêves urbains

Collectif NOSE

Quatre personnages de la famille des « lambda extraordinaires » partagent avec nous leur quotidien épique : attendre le bus, que le feu passe au vert, prendre le métro… 

Ces individus se croisent, se choquent, se frôlent, s’épient, mais ne se rencontrent pas. Comme si chacun restait confiné dans sa bulle, comme étanche à la vie autour. Si proche et en même temps si loin… Pourquoi ne se rencontre-t-on pas ? En avons-nous le temps ? En avons-nous peur ? En avons-nous envie ? Et si on laissait l’imaginaire, nos rêves et nos désirs s’exprimer, à quel spectacle assisterions-nous ? Ce spectacle est une forme hybride, à la croisée de la danse et du théâtre, où les corps racontent la solitude et la violence dans les rapports urbains, mais aussi l’envie irrésistible de s’en échapper… Ce projet s’inspire directement des petites choses de notre quotidien, celles qu’on ne remarque même plus, et qui pourtant nous
parlent à tous, et parlent de nous. De nos absurdités et de nos maladresses.

Ce projet est accueilli en résidence en septembre 2014. A cette occasion, un travail de récolte de témoignages sera effectué auprès des élèves du lycée Jean Monnet à Joué-lès-Tours.

« Il s’agit d’un spectacle extrêmement généreux, d’un « contre-don » mêlant théâtre et danse, qui touche chacun de nous en valorisant la banalité d’un quotidien partagé. Je recommande particulièrement ce spectacle qui, avec peu de moyens, nous aide à dépasser le quotidien pour atteindre une parole sensible portée par l’imaginaire des acteurs/danseurs. Une belle découverte ! »

Lydia Gaborit, responsable des relations avec le public du Théâtre de la Ville de Paris

Distribution :
Avec : Méloëe Ballandras, Gautier Boxebeld, Eva Nathalia Grenier, Fanny Jarlot
Mise en scène : Lucille Paquis
Assistante à la mise en scène : Nora Nagid
Création lumière : Armand Coutant
Création sonore : Jérémy Sananes
Scénographie : Solène Panné
Conception graphique : Alexandre Wimmer
Ce spectacle a reçu le Grand Prix du festival Nanterre sur Scène 2013.
Il bénéficie du soutien financier du Fonds de Solidarité et de Développement des Initiatives Etudiantes (FSDIE).
Ce projet a été réalisé grâce au soutien de la Région Centre pour sa création. Actuellement, il fait l’objet d’une demande d’aide à la résidence auprès de la DRAC Centre.