Petit-Bleu vit à la maison avec Papa-Bleu et Maman-Bleu. Il a plein d’amis, mais son meilleur ami c’est Petit-Jaune. Petit-Jaune habite juste en face avec Papa-Jaune et Maman-Jaune. Petit-Bleu et Petit-Jaune sont tellement contents de se revoir aujourd’hui qu’ils s’embrassent et deviennent... tout verts ! Mais leurs parents vont-ils les reconnaître ?

L’album est devenu un classique de la littérature jeunesse, tant par son approche graphique originale que par la profondeur des sujets qu’il aborde : l’amitié, la différence et l’altérité.

Des mobiles aériens aux couleurs bleues, jaunes, marron, noires, rouges, vertes, scintillent sous le regard des plus jeunes et prennent vie au fur et à mesure de la représentation. Ils deviennent les protagonistes de ce spectacle sur la tolérance et le respect, vibrant au son des lames de marimba, des tambours et tambourins, d’une cithare, d’un carillon et… des pots de fleurs !

« Le Théâtre de la vallée est en résidence d’implantation aidée par le ministère de la Culture et de la Communication – Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Ile-de-France, le Conseil général du Val d’Oise et la Ville d’Ecouen. La compagnie est conventionnée par le Conseil régional d’Ile-de-France dans le cadre des permanences artistiques et culturelles, et soutenue par la Caisse d’Epargne Ile-de-France. »

Petit-Bleu vit à la maison avec Papa-Bleu et Maman-Bleu. Il a plein d’amis, mais son meilleur ami c’est Petit-Jaune. Petit-Jaune habite juste en face avec Papa-Jaune et Maman-Jaune. Petit-Bleu et Petit-Jaune sont tellement contents de se revoir aujourd’hui qu’ils s’embrassent et deviennent... tout verts ! Mais leurs parents vont-ils les reconnaître ?

L’album est devenu un classique de la littérature jeunesse, tant par son approche graphique originale que par la profondeur des sujets qu’il aborde : l’amitié, la différence et l’altérité.

Des mobiles aériens aux couleurs bleues, jaunes, marron, noires, rouges, vertes, scintillent sous le regard des plus jeunes et prennent vie au fur et à mesure de la représentation. Ils deviennent les protagonistes de ce spectacle sur la tolérance et le respect, vibrant au son des lames de marimba, des tambours et tambourins, d’une cithare, d’un carillon et… des pots de fleurs !

« Le Théâtre de la vallée est en résidence d’implantation aidée par le ministère de la Culture et de la Communication – Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Ile-de-France, le Conseil général du Val d’Oise et la Ville d’Ecouen. La compagnie est conventionnée par le Conseil régional d’Ile-de-France dans le cadre des permanences artistiques et culturelles, et soutenue par la Caisse d’Epargne Ile-de-France. »

Chercheur d’or sonore, Thierry Balasse rejoue en direct l’un des disques les plus renversants de l’histoire du rock psychédélique, The Dark Side of the Moon des Pink Floyd : album mythique dont les ventes ont atteint des sommets vertigineux.

Sorti en 1973, The Dark Side of the Moon a l’ambition d’élever la musique populaire à un niveau de sophistication encore jamais atteint. L’album est à l’origine d’un mouvement underground de pop anglaise revendiquant ses racines européennes et puisant de nouvelles inspirations dans les musiques classique et contemporaine. Les musiciens de Pink Floyd donnent libre cours à leur intense tempérament expérimental grâce à une importante arborescence de bruitages, devenus autant d’icônes sonores, telles les ritournelles de caisse enregistreuse (Money) et les sonneries de réveil enregistrées chez un antiquaire (Time). Quarante ans après, la puissance de fascination de The Dark Side of the Moon reste intacte. La Face cachée de la Lune transforme la scène en studio de création et d’enregistrement. Les parties de synthèse sur séquenceur et les bruitages, à l’époque très difficiles à réaliser sur scène (le groupe utilisait des bandes playback), sont ici créés en direct.

A la fin du concert, une rencontre est prévue sur scène, avec Thierry Balasse, afin de présenter l’instrumentarium d’époque.

« Des musiciens qui deviennent bruiteurs, des images de manipulations montrées en direct sur des écrans. »

Le Monde

Serge Rigolet et Jean-Louis Dumont sont deux personnalités charismatiques de la Touraine. Tous deux dirigent ou ont dirigé des théâtres, tous deux accompagnent et ont accompagné nombre d’artistes émergents tout au long de leur carrière. Ils ont participé à de nombreux projets et ont fait partie de plusieurs compagnies, troupes…
Tout ce qui les rassemble et toute l’affection que leur portent public et artistes nous ont donné l’envie de leur offrir ce plateau partagé.

Avec Mots soufflés et Boutons de nacre, Serge a choisi d’être seul avec sa propre musique, seul pour nous en parler et nous raconter son attachement pour l’accordéon. Seul pour nous décrire sa relation avec la Musique et avec ses musiques, pour nous rassembler autour de ses émotions : amour de l’art et amour de la vie exprimés avec des notes, avec des mots, toujours sensibles. De souvenirs en anecdotes souriantes, Serge Rigolet se fait conteur et nous invite à partager son intimité d’artiste-musicien.

Pour Rue Ficatier, Jean-Louis chante. Il est accompagné sur scène par Gilles Parodi à la guitare, à la mandoline et au banjo, et par Patrick Raffault à l’accordéon et à l’accordina.
« Vouloir chanter Paris, et chanter ses faubourgs, Rêver de chanter Paris et chanter sa banlieue, Parcourir ses faubourgs, de Pigalle à Luna Park, Faire le tour de Paris, de Créteil à Meudon, De Chaville à Charenton… Et revenir… à Puteaux et Courbevoie
Retrouver la rue Ficatier… Et l’Oncle Marcel à la mandoline…
Une banlieue disparue et immuable. Une banlieue enfouie et présente à la fois, Ma banlieue… »

Un sac... Un grand sac... Et commence le grand déballage ! Un bout d’histoire, une chanson venue d’ailleurs, d’étranges matières sonores, un brin de poésie, quelques instruments du monde...

Embarquez-vous pour un voyage musical où glisseront au creux des petites oreilles les mélodies portées par le vent !

Le vent a-t-il une couleur ? A-t-il une humeur ? D’où vient-il ? Que fait-il ? Où dort-il ? Avec qui joue-t-il ?

Gonfler un ballon, même imaginaire, faire vibrer l’accordéon, pousser la voile d’une coque de noix, siffler, s’éventer, inspirer, souffler… C’est jouer !

Dans la salle, tout le monde respire… 
Brin d’air, c’est l’histoire d’un souffle de vie, d’un personnage habité au plus profond de son être par cette inspiration, cette respiration, ce vent qui le porte et l’emporte. En mouvement, sans cesse.

Brin d’air est un drôle de personnage, mi-adulte mi-enfant, mi-sage, mi-fou. Suffisamment fêlé pour nous laisser voir sa lumière intérieure, suffisamment centré pour laisser exister en lui ses désirs, sans peur.

Un sac... Un grand sac... Et commence le grand déballage ! Un bout d’histoire, une chanson venue d’ailleurs, d’étranges matières sonores, un brin de poésie, quelques instruments du monde...

Embarquez-vous pour un voyage musical où glisseront au creux des petites oreilles les mélodies portées par le vent !

Le vent a-t-il une couleur ? A-t-il une humeur ? D’où vient-il ? Que fait-il ? Où dort-il ? Avec qui joue-t-il ?

Gonfler un ballon, même imaginaire, faire vibrer l’accordéon, pousser la voile d’une coque de noix, siffler, s’éventer, inspirer, souffler… C’est jouer !

Dans la salle, tout le monde respire… 
Brin d’air, c’est l’histoire d’un souffle de vie, d’un personnage habité au plus profond de son être par cette inspiration, cette respiration, ce vent qui le porte et l’emporte. En mouvement, sans cesse.

Brin d’air est un drôle de personnage, mi-adulte mi-enfant, mi-sage, mi-fou. Suffisamment fêlé pour nous laisser voir sa lumière intérieure, suffisamment centré pour laisser exister en lui ses désirs, sans peur.

Un sac... Un grand sac... Et commence le grand déballage ! Un bout d’histoire, une chanson venue d’ailleurs, d’étranges matières sonores, un brin de poésie, quelques instruments du monde...

Embarquez-vous pour un voyage musical où glisseront au creux des petites oreilles les mélodies portées par le vent !

Le vent a-t-il une couleur ? A-t-il une humeur ? D’où vient-il ? Que fait-il ? Où dort-il ? Avec qui joue-t-il ?

Gonfler un ballon, même imaginaire, faire vibrer l’accordéon, pousser la voile d’une coque de noix, siffler, s’éventer, inspirer, souffler… C’est jouer !

Dans la salle, tout le monde respire… 
Brin d’air, c’est l’histoire d’un souffle de vie, d’un personnage habité au plus profond de son être par cette inspiration, cette respiration, ce vent qui le porte et l’emporte. En mouvement, sans cesse.

Brin d’air est un drôle de personnage, mi-adulte mi-enfant, mi-sage, mi-fou. Suffisamment fêlé pour nous laisser voir sa lumière intérieure, suffisamment centré pour laisser exister en lui ses désirs, sans peur.

Un sac... Un grand sac... Et commence le grand déballage ! Un bout d’histoire, une chanson venue d’ailleurs, d’étranges matières sonores, un brin de poésie, quelques instruments du monde...

Embarquez-vous pour un voyage musical où glisseront au creux des petites oreilles les mélodies portées par le vent !

Le vent a-t-il une couleur ? A-t-il une humeur ? D’où vient-il ? Que fait-il ? Où dort-il ? Avec qui joue-t-il ?

Gonfler un ballon, même imaginaire, faire vibrer l’accordéon, pousser la voile d’une coque de noix, siffler, s’éventer, inspirer, souffler… C’est jouer !

Dans la salle, tout le monde respire… 
Brin d’air, c’est l’histoire d’un souffle de vie, d’un personnage habité au plus profond de son être par cette inspiration, cette respiration, ce vent qui le porte et l’emporte. En mouvement, sans cesse.

Brin d’air est un drôle de personnage, mi-adulte mi-enfant, mi-sage, mi-fou. Suffisamment fêlé pour nous laisser voir sa lumière intérieure, suffisamment centré pour laisser exister en lui ses désirs, sans peur.

D’après La Petite Josette (1976) et Le Retour de la Petite Josette (2009), de Anne Sylvestre.

Il était une... Petite Josette, assez coquine, il faut bien le dire, qui détourne sa vie de tous les jours à travers son univers plein d’imagination et de malice. On y découvre son chat Crocus, son ami Jacques, ses parents, et on la suit de la cour de récréation en goûter d’anniversaire, jusqu’à ses vacances à la mer...

Elle rit, tape des pieds et s’interroge avec ce brin de philosophie qui nous fait sourire, car « elle avait des idées quand même, cette petite Josette-là ! » 

Les deux interprètes nous racontent et chantent avec espièglerie et amusement les moments de vie et les idées malicieuses d’une petite fille.

« Ce qu’il y a de jubilatoire, avec ces fabulettes et leur malicieuse restitution, c’est ce dessin, en creux, de la famille et globalement de l’univers adulte, qui fait que les grands, dans la salle, sourient autant que les Jo(sette)… »

Manon Ona

D’après La Petite Josette (1976) et Le Retour de la Petite Josette (2009), de Anne Sylvestre.

Il était une... Petite Josette, assez coquine, il faut bien le dire, qui détourne sa vie de tous les jours à travers son univers plein d’imagination et de malice. On y découvre son chat Crocus, son ami Jacques, ses parents, et on la suit de la cour de récréation en goûter d’anniversaire, jusqu’à ses vacances à la mer...

Elle rit, tape des pieds et s’interroge avec ce brin de philosophie qui nous fait sourire, car « elle avait des idées quand même, cette petite Josette-là ! » 

Les deux interprètes nous racontent et chantent avec espièglerie et amusement les moments de vie et les idées malicieuses d’une petite fille.

« Ce qu’il y a de jubilatoire, avec ces fabulettes et leur malicieuse restitution, c’est ce dessin, en creux, de la famille et globalement de l’univers adulte, qui fait que les grands, dans la salle, sourient autant que les Jo(sette)… »

Manon Ona