A partir de 1 an

 Dans le cadre du festival Circuit Biscuit

Le pli, de la matière qui ondule, se brise, se sculpte, est aussi un creux, un intérieur où se logent le mystère, le secret, l’inconnu, le rêve. Mathilde Lechat, musicienne, chanteuse, conteuse et exploratrice de matières sonores, interprète un solo de voix en mouvement, sous la forme d’un parcours au plus près des enfants dans un dispositif scénique qui intègre le public. Pour cette création, l’artiste a passé plusieurs semaines de résidence dans des crèches au milieu des enfants afin d’observer leurs rituels et leur curiosité sonore. Nourrie de ces rencontres et s’appuyant sur sa pratique de la musique contemporaine, de l’improvisation et des musiques du monde, elle propose un voyage sonore en résonnance avec le champ sensoriel et émotionnel des tout-petits. Dans un espace poétique, la voix circule et le corps danse. La voix explore, joue, chante, « phonétise », invente des langues, crie, pleure, rit, appelle. Le corps respire, jouant avec la gravité, sculptant l’espace. Dans une écoute suspendue, un monde imaginaire se déplie, laissant alors place aux rêves…

« Une performance vocale audacieuse en proximité immédiate des tout-petits. » - La Scène, Cyrille Planson

Tout Public à partir de 7 ans

Combien d’enfants à travers le monde se sont-ils sentis perdus, désemparés, à la fin du conte d’Andersen ? Ah bon, elle meurt ? Mais quand tu dis qu’elle meurt, elle meurt mais pas vraiment, pas vrai ? Si ? Vraiment en vrai ? Mais quelle idée de me lire ça maman ? Tu veux que je fasse des cauchemars, papa ? Franchement, était-il raisonnable de laisser à un adulte le soin de choisir la fin de l’histoire ? C’est la question que PAN ! (La Compagnie) a choisi de poser à des groupes d’enfants de 5 à 12 ans, dont les voix si vivantes viennent soulever des forces de vie. Et le résultat, c’est Andersen, la fatalité en moins, les questions en plus ; rien n’est édulcoré du conte original, car le XXIe siècle n’est pas moins dur que le XIXe siècle, mais l’humour bouscule, la tendresse renverse.

Tout Public à partir de 7 ans

Combien d’enfants à travers le monde se sont-ils sentis perdus, désemparés, à la fin du conte d’Andersen ? Ah bon, elle meurt ? Mais quand tu dis qu’elle meurt, elle meurt mais pas vraiment, pas vrai ? Si ? Vraiment en vrai ? Mais quelle idée de me lire ça maman ? Tu veux que je fasse des cauchemars, papa ? Franchement, était-il raisonnable de laisser à un adulte le soin de choisir la fin de l’histoire ? C’est la question que PAN ! (La Compagnie) a choisi de poser à des groupes d’enfants de 5 à 12 ans, dont les voix si vivantes viennent soulever des forces de vie. Et le résultat, c’est Andersen, la fatalité en moins, les questions en plus ; rien n’est édulcoré du conte original, car le XXIe siècle n’est pas moins dur que le XIXe siècle, mais l’humour bouscule, la tendresse renverse.

Tout Public à partir de 5 ans

C’est un conte slave qui se déroule au cœur d’un hiver terrible, tout près d’une grande forêt. Une jeune fille persécutée par sa marâtre est sauvée grâce aux douze mois de l’année qui vivent dans une clairière au cœur de cet immense bois. Cette petite fille se bat pour être plus heureuse et refuse le sort terrible que sa mère et sa sœur lui offraient.

Les mois, bons génies de l’héroïne, transforment la forêt à leur gré afin qu’elle puisse ramasser ou cueillir des violettes, des pommes, des fraises des bois pour satisfaire les caprices de la méchante sœur et de la marâtre… À chaque fois, la jeune fille trouve refuge et aide dans la forêt : auprès de son ami l’arbre tout d’abord, puis chez les mois de l’année. Son rapport à la nature est très fort, c’est là qu’elle trouve refuge.

Les quatre comédiens et comédiennes sont tous chanteurs et/ou musiciens. Le spectacle est conçu comme une comédie musicale : avec des chansons propres aux personnages et des moments choraux, dans un très beau décor animé.

Tout Public à partir de 5 ans

C’est un conte slave qui se déroule au cœur d’un hiver terrible, tout près d’une grande forêt. Une jeune fille persécutée par sa marâtre est sauvée grâce aux douze mois de l’année qui vivent dans une clairière au cœur de cet immense bois. Cette petite fille se bat pour être plus heureuse et refuse le sort terrible que sa mère et sa sœur lui offraient.

Les mois, bons génies de l’héroïne, transforment la forêt à leur gré afin qu’elle puisse ramasser ou cueillir des violettes, des pommes, des fraises des bois pour satisfaire les caprices de la méchante sœur et de la marâtre… À chaque fois, la jeune fille trouve refuge et aide dans la forêt : auprès de son ami l’arbre tout d’abord, puis chez les mois de l’année. Son rapport à la nature est très fort, c’est là qu’elle trouve refuge.

Les quatre comédiens et comédiennes sont tous chanteurs et/ou musiciens. Le spectacle est conçu comme une comédie musicale : avec des chansons propres aux personnages et des moments choraux, dans un très beau décor animé.

A partir de 7 ans

Esmé, une petite-fille, vient comme tous les ans passer des vacances chez ses grands-parents au bord de la mer. Cette année, Papy Stan est là, mais pas Mamie Queenie. La petite fille interroge son grand-père sur cette disparition. Stan lui apprend alors que Queenie est partie avec un cirque, comme funambule. Esmé est étonnée. Sa grand-mère l'aurait-elle oubliée? Cette pièce de Mike Kenny nous raconte le voyage d'une petite fille qui, au fil du texte, accomplit son premier travail de deuil.

Le spectacle nous entraîne à travers les strates de la mémoire, entre passé et présent. Esmé a grandi et l'adulte qu'elle est devenue réinvente l'univers de son enfance en composant en direct le paysage de ses vacances à la manière d’une enfant jouant sur la plage. Parmi ses souvenirs, elle nous fait entendre sa voix de petite fille qui dialogue avec Papy Stan. Papy Stan, lui, dialogue tantôt avec Esmé la grande, tantôt avec Esmé la petite, pour nous raconter comment ces deux-là se sont redécouverts et pour qu’Esmé vole de ses propres ailes accompagnée du souvenir léger et scintillant de sa grand-mère…

A partir de 7 ans

Esmé, une petite-fille, vient comme tous les ans passer des vacances chez ses grands-parents au bord de la mer. Cette année, Papy Stan est là, mais pas Mamie Queenie. La petite fille interroge son grand-père sur cette disparition. Stan lui apprend alors que Queenie est partie avec un cirque, comme funambule. Esmé est étonnée. Sa grand-mère l'aurait-elle oubliée? Cette pièce de Mike Kenny nous raconte le voyage d'une petite fille qui, au fil du texte, accomplit son premier travail de deuil.

Le spectacle nous entraîne à travers les strates de la mémoire, entre passé et présent. Esmé a grandi et l'adulte qu'elle est devenue réinvente l'univers de son enfance en composant en direct le paysage de ses vacances à la manière d’une enfant jouant sur la plage. Parmi ses souvenirs, elle nous fait entendre sa voix de petite fille qui dialogue avec Papy Stan. Papy Stan, lui, dialogue tantôt avec Esmé la grande, tantôt avec Esmé la petite, pour nous raconter comment ces deux-là se sont redécouverts et pour qu’Esmé vole de ses propres ailes accompagnée du souvenir léger et scintillant de sa grand-mère…

A partir de 7 ans

Esmé, une petite-fille, vient comme tous les ans passer des vacances chez ses grands-parents au bord de la mer. Cette année, Papy Stan est là, mais pas Mamie Queenie. La petite fille interroge son grand-père sur cette disparition. Stan lui apprend alors que Queenie est partie avec un cirque, comme funambule. Esmé est étonnée. Sa grand-mère l'aurait-elle oubliée? Cette pièce de Mike Kenny nous raconte le voyage d'une petite fille qui, au fil du texte, accomplit son premier travail de deuil.

Le spectacle nous entraîne à travers les strates de la mémoire, entre passé et présent. Esmé a grandi et l'adulte qu'elle est devenue réinvente l'univers de son enfance en composant en direct le paysage de ses vacances à la manière d’une enfant jouant sur la plage. Parmi ses souvenirs, elle nous fait entendre sa voix de petite fille qui dialogue avec Papy Stan. Papy Stan, lui, dialogue tantôt avec Esmé la grande, tantôt avec Esmé la petite, pour nous raconter comment ces deux-là se sont redécouverts et pour qu’Esmé vole de ses propres ailes accompagnée du souvenir léger et scintillant de sa grand-mère…

A partir de 18 mois

Une « dervicherie » à partager entre les tout-petits et leurs accompagnants dans laquelle Frédérique Baliteau, la manipulatrice, la montreuse d’objets, et Pascal Pouvreau, le musicien, s’inspirent de mythes indiens pour inventer la vie.

Dans la mythologie Navajo, on dit qu’après un long déluge de pluies incessantes qui noya toute la terre, le peuple naquit d’un roseau. Assis tous ensemble dans une armature de yourte, en cercle, on assiste à de petits miracles que seuls la nature et l’imaginaire peuvent susciter.

Les manipulations s’effectuent sur une piste, objet de toute notre attention, elle se transforme au cours du spectacle et représente le monde.

La vie naît avec le mouvement.

A partir de 18 mois

Une « dervicherie » à partager entre les tout-petits et leurs accompagnants dans laquelle Frédérique Baliteau, la manipulatrice, la montreuse d’objets, et Pascal Pouvreau, le musicien, s’inspirent de mythes indiens pour inventer la vie.

Dans la mythologie Navajo, on dit qu’après un long déluge de pluies incessantes qui noya toute la terre, le peuple naquit d’un roseau. Assis tous ensemble dans une armature de yourte, en cercle, on assiste à de petits miracles que seuls la nature et l’imaginaire peuvent susciter.

Les manipulations s’effectuent sur une piste, objet de toute notre attention, elle se transforme au cours du spectacle et représente le monde.

La vie naît avec le mouvement.