En ramenant le personnage au-devant de la scène, à travers son vêtement, « Chapeau, Charlot » veut surprendre !

Déshabiller Charlot et jouer avec, témoigner de ce petit bonhomme cabossé, et de son espoir en toutes choses. Indifférent, égoïste, plein de tendresse, agressif, fantasque, anarchiste, révolté contre l’injustice et tout ce qui avilit les hommes, ce personnage est une représentation des différents visages de l’homme.

Un hommage à un héros des temps modernes, à l'inventeur d'une poésie en noir et blanc

Tantôt vagabond, poète, rêveur, clochard, gentleman, son ambition est de « déshabiller » la réalité. Ce qui touche chez Charlot, c’est cette énergie inépuisable de voir une porte de sortie à chaque situation. Rien n’est fatalité !

Lorsque ses espoirs, ses rêves, ses aspirations s’évanouissent dans la futilité et le néant, il secoue simplement ses épaules et tourne les talons. Sa démarche est connue de tous, le tournoiement de sa canne est son emblème. Il est le roi de la pantomime. Ce sont tous ces gestes que l’on voit sur scène avec « Chapeau, Charlot ».

La Cie C’Koi Ce Cirk nous plonge dans un plateau de cinéma et nous fait revivre les séquences mythiques de Charlot.

En ramenant le personnage au-devant de la scène, à travers son vêtement, « Chapeau, Charlot » veut surprendre !

Déshabiller Charlot et jouer avec, témoigner de ce petit bonhomme cabossé, et de son espoir en toutes choses. Indifférent, égoïste, plein de tendresse, agressif, fantasque, anarchiste, révolté contre l’injustice et tout ce qui avilit les hommes, ce personnage est une représentation des différents visages de l’homme.

Un hommage à un héros des temps modernes, à l'inventeur d'une poésie en noir et blanc

Tantôt vagabond, poète, rêveur, clochard, gentleman, son ambition est de « déshabiller » la réalité. Ce qui touche chez Charlot, c’est cette énergie inépuisable de voir une porte de sortie à chaque situation. Rien n’est fatalité !

Lorsque ses espoirs, ses rêves, ses aspirations s’évanouissent dans la futilité et le néant, il secoue simplement ses épaules et tourne les talons. Sa démarche est connue de tous, le tournoiement de sa canne est son emblème. Il est le roi de la pantomime. Ce sont tous ces gestes que l’on voit sur scène avec « Chapeau, Charlot ».

La Cie C’Koi Ce Cirk nous plonge dans un plateau de cinéma et nous fait revivre les séquences mythiques de Charlot.

Il y a très longtemps, dans un pays très lointain, vivait un empereur très puissant.

Il aimait par-dessus tout les très jolis costumes. Pour chaque heure du jour il en avait un, voire deux, et des gardes-robes (garde-robes) par millier(s).

Un jour, au palais, se présentent deux tailleurs, escrocs de profession.  Ils se vantent de savoir tisser une étoffe merveilleuse, invisible aux imbéciles et aux sots…

Redécouvrez le conte d’Andersen dans un théâtre gestuel et d’ombres

La forme de ce conte malicieux permet de transposer une réflexion profonde sur la fièvre d’obéissance de l’être humain et la portée de la rumeur, dans un monde imaginaire

La Cie Escale revisite ce conte d’Andersen à sa manière, par un théâtre d’ombres et de corps, de masques et de marionnettes, pour jouer avec les multiples facettes de ce texte.

Il y a très longtemps, dans un pays très lointain, vivait un empereur très puissant.

Il aimait par-dessus tout les très jolis costumes. Pour chaque heure du jour il en avait un, voire deux, et des gardes-robes (garde-robes) par millier(s).

Un jour, au palais, se présentent deux tailleurs, escrocs de profession.  Ils se vantent de savoir tisser une étoffe merveilleuse, invisible aux imbéciles et aux sots…

Redécouvrez le conte d’Andersen dans un théâtre gestuel et d’ombres

La forme de ce conte malicieux permet de transposer une réflexion profonde sur la fièvre d’obéissance de l’être humain et la portée de la rumeur, dans un monde imaginaire

La Cie Escale revisite ce conte d’Andersen à sa manière, par un théâtre d’ombres et de corps, de masques et de marionnettes, pour jouer avec les multiples facettes de ce texte.

Il y a très longtemps, dans un pays très lointain, vivait un empereur très puissant.

Il aimait par-dessus tout les très jolis costumes. Pour chaque heure du jour il en avait un, voire deux, et des gardes-robes (garde-robes) par millier(s).

Un jour, au palais, se présentent deux tailleurs, escrocs de profession.  Ils se vantent de savoir tisser une étoffe merveilleuse, invisible aux imbéciles et aux sots…

Redécouvrez le conte d’Andersen dans un théâtre gestuel et d’ombres

La forme de ce conte malicieux permet de transposer une réflexion profonde sur la fièvre d’obéissance de l’être humain et la portée de la rumeur, dans un monde imaginaire

La Cie Escale revisite ce conte d’Andersen à sa manière, par un théâtre d’ombres et de corps, de masques et de marionnettes, pour jouer avec les multiples facettes de ce texte.

Dans ce spectacle poétique et visuel, les jeunes spectateurs sont invités à la rencontre du ciel par le jeu de la danse, avec les images, les objets en suspension ou en mouvement, et la musique. À travers une écriture chorégraphique exigeante, « Un petit coin de ciel » interroge la verticalité, l’envol, l’apesanteur, et le déséquilibre.

Un solo dansé, une poésie à regarder et à ressentir, la tête dans les nuages

Interprété par la danseuse Mélisande Carré-Angeli, ce solo nous raconte une histoire sans paroles, un monde en suspension fait de transparence, de souffle, et de mouvement, à la rencontre des nuages, du vent, des oiseaux, des papillons, de l’immensité de la nuit... et d’un ange qui passe.

Dans ce spectacle poétique et visuel, les jeunes spectateurs sont invités à la rencontre du ciel par le jeu de la danse, avec les images, les objets en suspension ou en mouvement, et la musique. À travers une écriture chorégraphique exigeante, « Un petit coin de ciel » interroge la verticalité, l’envol, l’apesanteur, et le déséquilibre.

Un solo dansé, une poésie à regarder et à ressentir, la tête dans les nuages

Interprété par la danseuse Mélisande Carré-Angeli, ce solo nous raconte une histoire sans paroles, un monde en suspension fait de transparence, de souffle, et de mouvement, à la rencontre des nuages, du vent, des oiseaux, des papillons, de l’immensité de la nuit... et d’un ange qui passe.

Dans ce spectacle poétique et visuel, les jeunes spectateurs sont invités à la rencontre du ciel par le jeu de la danse, avec les images, les objets en suspension ou en mouvement, et la musique. À travers une écriture chorégraphique exigeante, « Un petit coin de ciel » interroge la verticalité, l’envol, l’apesanteur, et le déséquilibre.

Un solo dansé, une poésie à regarder et à ressentir, la tête dans les nuages

Interprété par la danseuse Mélisande Carré-Angeli, ce solo nous raconte une histoire sans paroles, un monde en suspension fait de transparence, de souffle, et de mouvement, à la rencontre des nuages, du vent, des oiseaux, des papillons, de l’immensité de la nuit... et d’un ange qui passe.