Nora va venir vous raconter des choses.
De retour avec son nouveau spectacle, Nora Hamzawi épingle l’époque et s’interroge sur sa vie de jeune trentenaire. Maternité, crises de couple, épanouissement social et sexuel... elle dissèque ses névroses avec autodérision et nous aide finalement à mieux accepter les nôtres.
Tête de premier de la classe et sourire en coin, Haroun lève le doigt avant de vanner. Sans vulgarité, ni violence, juste des vérités qui tapent là où ça fait rire.
Un spectacle sans concession où l'humour est une arme de réflexion massive.
Reconnu pour son écriture acérée, sa justesse et ses analyses fines, Haroun renouvelle l'art du stand-up.
Plus rien à perdre... Fabrice Eboué se lâche comme jamais dans ce nouveau spectacle.
S’il s’en donne à cœur joie sur les véganes, les complotistes, ou son couple mixte c’est surtout de lui-même qu’il préfère rire !
1h30 d’une colère saine et jubilatoire !
Pianiste surdoué et charismatique, Brad Mehldau doit son éblouissante carrière à sa grande sensibilité et à son sens inné de la mélodie et de l’improvisation.
De Cole Porter aux Beatles en passant par Radiohead, la musique de Brad Meldhau n’a pas de frontières et nous invite à une aventure musicale des plus passionnantes, entre respect de la tradition et audace contemporaine.
Brad Mehldau est, sans conteste, l’un des jazzmen les plus influents de ces vingt dernières années.
En trio avec le contrebassiste Larry Grenadier et le batteur Jeff Ballard, ses comparses de prédilection, il nous livre avec son lyrisme légendaire sa musique raffinée et délicatement mélancolique. Ses envolées au piano, qualifiées par beaucoup de moments de grâce, lui ont valu la reconnaissance d’un large public allant des musiques populaires aux musiques savantes.
Invité régulier des plus grands festivals de jazz au monde, c’est un honneur de l’accueillir sur notre scène et un rendez-vous musical exceptionnel à ne surtout pas manquer.
« Ses concerts à l'inspiration quasi symphonique sont chaque fois une aventure qui mène les auditeurs au plus profond de la musique. » Télérama
Racine n’est pas un petit garçon comme les autres, personne n’a vu que dans sa tête une forêt avait poussé. Fuyant une grand-mère hostile et un quotidien angoissant, il court s’y réfugier. Et c’est dans une forêt envahissante, changeant au gré de ses émotions que le petit garçon va vivre les aventures les plus inattendues, dessinant petit à petit le chemin qui le mène à lui-même.
À travers ce cheminement initiatique, les chorégraphes dépeignent avec grâce et douceur l’univers de l’enfance, la difficulté et le plaisir de grandir.
Lieu de repli et d’abandon, du danger et du merveilleux, la forêt nourrit depuis la nuit des temps les imaginaires. Elle devient pour Racine un lieu ambivalent qu’il va devoir découvrir et apprivoiser pour mieux grandir et se connaître.
« C’est dans le corps, dans notre existence physique, qui porte en elle l’ordre intrinsèque de la vie, que réside la plus grande des sagesses ». Tao Ye, fondateur de l’une des compagnies phares de la danse contemporaine chinoise, explore depuis plus de dix ans au sein du TAO Dance Theater l’idée d’un mouvement pur dégagé de toute forme de narration. Ses pièces ne cherchent pas à plaire mais à expérimenter. Pour preuve, il ne donne aucun titre à ses chorégraphies mais les numérote, dessinant ainsi une sorte d’ensemble composé. Chaque œuvre possède une unité et forme, juxtaposée les unes aux autres, un tout cohérent.
L’exploration du mouvement pur et synchronisé, par la compagnie phare de la danse contemporaine chinoise
La pièce 4 rassemble quatre danseurs. La pièce 5, cinq danseurs. La musique de Xiao He, un compositeur avant-gardiste, accompagne ces deux pièces. Dans 4, les corps prennent l’espace dans le flux d’une énergie verticale. Ils semblent se chercher sans jamais se rencontrer. Les cinq danseurs de 5 entretiennent quant à eux une forte connexion physique. La rencontre, de l’entrecroisement jusqu’à l’accumulation des corps, produit une sorte d’édifice géant, une masse mouvante émergeant de la terre. Pour Tao Ye, « 5 est une pièce qui exprime sa compréhension du monde. Certains y voient le bonheur et l'espoir, d’autres l'oppression et le désespoir ».
4 et 5 forment un diptyque étonnant, tant sur le plan de la précision de l’écriture que de la virtuosité technique dont font preuve les interprètes.
« Le travail de Tao Ye, très conceptuel tout en restant d’une grande simplicité, confirme la notoriété grandissante de ce chorégraphe sur la scène internationale. » London Evening Standard (UK)
À partir d'avril 2019, en achetant un pass billetterie pour le festival Tours d'Horizon auprès du CCNT et sur présentation du justificatif, vous pourrez accéder au tarif abonné : 26 €
Tandis que l'orage menace, Richard, un metteur en scène sur le retour, vient dispenser son premier cours de théâtre en centrale. Il espère une forte affluence, qui entraînerait d'autres cours - et d'autres cachets - mais seuls deux détenus se présentent : Kevin, un jeune chien fou, et Ange, la cinquantaine mutique, qui n'est là que pour accompagner son ami. Richard, secondé par une de ses anciennes actrices - accessoirement son ex-femme - et par une assistante sociale inexpérimentée, choisit de donner quand même son cours…
L’auteur d’Edmond présente une nouvelle pièce à Malraux
« De ce cours découlera une introspection sur les raisons de leur détention, sur leur rapport au temps, et sur l'espace qui les sépare de ceux du dehors. De cette introspection naîtra une histoire romanesque et pleine de rebondissements, sur le plateau nu de cette prison. » Alexis Michalik
« Alexis Michalik est follement doué pour tresser les histoires les plus folles avec une maestria et une humanité confondantes. » Télérama
Marc, Serge et Yvan sont amis depuis trente ans jusqu’au jour où Serge achète un tableau entièrement blanc (si on cligne les yeux, on peut apercevoir de fins liserés blancs transversaux…).
Serge présente à Marc son acquisition.
Marc contemple l’œuvre et s’enquiert de son prix.
Cette scène anodine est le point de départ d’un "cataclysme" entre les trois personnages.
La pièce culte de Yasmina Reza est portée par un trio d’acteurs éblouissants.
Le saviez-vous ?
Ecrite en 1994 et traduite dans une quarantaine de langues, la pièce « Art » de Yasmina Reza a été jouée et primée dans le monde entier.
Elle a fait l’objet de productions mémorables dont certaines se jouent encore en répertoire. Elle a obtenu de nombreux prix prestigieux dont le Tony Award de la meilleure pièce aux USA et le Laurence Olivier Award de la meilleure pièce au Royaume-Uni.
« Elle est sans doute la pièce française contemporaine la plus connue et la plus jouée dans le monde » Le Monde
Imaginez 7 amateurs de romans noirs anglais qui décident de créer un spectacle alors qu’ils ne sont jamais montés sur scène ! Ils ont choisi une pièce inédite, un véritable chef d’oeuvre écrit par Conan Doyle lui-même (enfin, c’est ce qu’ils prétendent !)… L’action se situe fin XIXème, dans un superbe manoir, lors d’une soirée de fiançailles, en plein coeur de l’Angleterre. Les festivités vont enfin commencer quand un meurtre est commis. Chacun des invités présents dans le château devient alors... un dangereux suspect.
Après leur triomphe en 2015, Les Faux British reviennent !
Ils poursuivent leur enquête meurtrière dans le même tourbillon de catastrophes et avec toujours autant de folie !
Nos valeureux « comédiens d’un soir » vont très vite constater à leurs dépens que le théâtre nécessite énormément de rigueur. Malgré toute leur bonne volonté, les catastrophes vont s’enchaîner à un rythme endiablé. Dans ce joyeux désordre, nos Faux British, armés du légendaire flegme britannique, feront tout pour interpréter aussi dignement que possible ce thriller théâtral qui leur tient tant à coeur.
Réussiront-ils à terminer la pièce ? Dans quel état va-t-on les retrouver ? Ce qui est sûr, c’est que le spectateur, lui, n’en finira plus de rire devant une telle succession de gags… so british !
« La salle est PLIÉE en deux » Europe 1
Il est reconnu pour son écriture acérée, sa justesse et ses analyses fines.
Haroun renouvelle l'art du stand-up
Tête de premier de la classe et sourire en coin, Haroun lève le doigt avant de vanner. Sans vulgarité, ni violence, juste des vérités qui tapent là où ça fait rire. Un spectacle sans concession où l'humour est une arme de réflexion massive.
